Contexte de l'article
En quoi est-ce un dogme ?
Classification
l'évolution n'est pas un progrès
Quels sont les critères ?
|
|
|
ce qu'on entend par "animal"
Conception naturaliste
Leviers émotionnels
Impasse de la souffrance
Spéculations
incohérences concrètes
Ne pas inverser les rôles
écologie n'est pas misanthropie
Question d'échelle
|
|
|
|
Différenciations
Dissonance cognitive. Terme vague qui ne se résume pas à son application concernant le choix alimentaire. Apparemment, il y eu une grosse scission, du moins en Europe, courant "Renaissance", où la séparation production/ornement s'est rendue très stricte. Il fallait exhiber un jardin d'ornement à fonction de démonstration sociale, récréatif, et un jardin caché où l'on fait pousser du "productif", des légumes. La dissonance cognitive n'est donc pas un problème cognitif en priorité mais le résultat de variation des choix et habitudes. De fait, la dissonance cognitive est la base même de toute notre existence, attendu que rien ne correspond à une logique hors-sol parfaite, universelle et intemporelle. Mais si on tient à rester sur ce concept, cela s'applique donc aussi au sein du 100% végétal. Des gens reportent ne pas vouloir manger de fleurs (exemple capucines) parce que cela leur semble peu cohérent avec leurs habitudes. Les fleurs sont vues comme des ornements en majorité et alors, pour certaines personnes, cela fait mal au cœur de manger ces petites beautés. Bon, peut-être est-ce un biais de ma part, mais j'ai spontanément envie de penser que les fleurs sont de faible intérêt nutritionnel, mis à part le splendide spectacle dans l'assiette et leur raffinement gustatif.